RDC: Une évaluation de la vaccination systématique par Le ministre de la santé et ses représentants des provinces!
Le Ministre de la santé publique, hygiène et prevention de la République démocratique du Congo, Jean-Jacques Mbungani, a pris part à la cérémonie d’évaluation de la revue annuelle de la vaccination systématique, ce vendredi 22 octobre à Kinshasa (Pullman Hotel). Un accent particulier a été mis sur les deux provinces du Haut-Lomami et du Tanganyika, situés à l’Est du pays.
Mbungani s’est entretenu avec les représentants de chaque province de son pays. Avec comme objectif d’évaluer le plan vaccinal appelé ’Mashako’, nom de l’ancien minsitre de la santé.
Un autre but de cette reunion a été l’amélioration de la vaccination systématique en RDC. “Chaque enfant né dans notre pays, où qu’il se trouve, a le droit d’être protégé contre toutes maladies évitables par la vaccination” a déclaré le numéro un de la santé.
Bill Mélinda Gates
Chaque représentant a expliqué les différentes activités mais aussi des innovations menées par la fondation américaine Bill et Mélinda Gates. Cette organisation caritative assiste le ministère de la santé congolais. “Ces progrès sont impressionnants et nous devons nous en féliciter tant au niveau national pour le financement de vaccin et les efforts du Programme Elargi de Vaccination”, s’est réjoui le ministre. Par ailleurs, Mbungani a signé le mémorandum d’entente (MoU) entre la fondation Bill et Mélinda Gates.
Bilan
Les deux parties se sont engagées à rendre meilleures les activités du programme, tel que reprises dans les plans d’action au niveau provincial.
Au cours de cette réunion, différents défis ont été relevés. Entre autres, l’amélioration de la vaccination systématique dans chaque province: « Nous ne devons pas être satifaits tant qu’un seul enfant congolais reste sans etre vaccine. Plusieures épidémies sevissent encore et toujours sur notre territoire, » a expliqué le ministre. « Nous avons maintenant créé des attentes pour lesquelles nous avons obligation des resultats lors du prochain bilan », a-t-il conclu.
M.P/Santé